Aujourd’hui, on va aborder un sujet qui questionne toutes les femmes qui ont été confrontées à des tests négatifs à l’issue d’une insémination ou d’une FIV : Les principales causes d’échecs d’implantation de l’embryon
Si c’est ton cas, il est parfaitement logique que tu cherches à comprendre pourquoi il n’y a pas eu d’implantation.
Il n’existe malheureusement pas de définition claire et officielle de cette pathologie.
Chaque centre détermine un stade à partir duquel il est jugé anormal qu’aucun des embryons transférés ne se soit implanté
La majorité des praticiens considère qu’une patiente souffre d’échecs répétés d’implantation lorsqu’aucune implantation n’a été diagnostiquée après le transfert d’au moins trois embryons possédant un haut potentiel implantatoire.
Si tu veux en savoir plus sur le classement des embryons, je t’invite à prendre connaissance de mon post sur le sujet en cliquant ici
Quelles sont les principales causes de l’échec d’implantation ?
Les anomalies génétiques de l’embryon sont la cause principale d’un échec d’implantation.
Elles sont liées à une mauvaise qualité de l’ovocyte et/ou du spermatozoïde.
Elles sont liées à une mauvaise qualité de l’ovocyte et/ou du spermatozoïde.
Il peut s’agir de facteurs endogènes : comme l’âge, le stress, l’état inflammatoire de l’organisme, etc.
D’autres part des facteurs exogènes telle que l’exposition à des molécules toxiques (tabac, perturbateurs endocriniens…) altèrent la qualité des gamètes.
L’embryon n’est bien sûr pas la seule cause d’un échec d’implantation.
Un certain nombres de pathologies et malformations utérines perturbent cette réceptivité de l’utérus vis-à-vis de l’embryon :
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un endomètre trop fin (même si c’est une théorie qui tend à être remise en question)
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le système immunitaire : les échecs d’implantation peuvent s’expliquer par une réponse immunitaire trop agressive qui induit la mort de l’embryon reconnu comme un corps étranger. À l’inverse, une réponse immunitaire utérine diminuée compromet l’adhésion entre l’embryon et l’endomètre.
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Certaines pathologies affectent la qualité de l’endomètre et peuvent être à l’origine d’un échec d’implantation embryonnaire et d’une infertilité : endométriose, fibromes, polypes, infections, hydrospalpinx,…
La bonne nouvelle, c’est que tu peux agir sur de nombreux facteurs !
Que ce soit le stress, les perturbateurs endocriniens, le système immunitaire et beaucoup d’autres choses.
C’est ce que font les femmes au sein de mon programme d’accompagnement.
Et c’est la principale raison de la nécessité d’une approche globale de la fertilité.
Si tu as conscience que tu peux toi aussi agir pour ne plus subir, clique sur ce lien pour doubler tes chances dès aujourd’hui.