Le stress réduit la fertilité de 46% !

 

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Le rôle de Positive Mind Attitude est d’expliquer aux femmes combien ses pensées ont un rôle sur sa fertilité, qu’un bon état d’esprit augmente considérablement les chances de réussite (y compris en PMA).  Et je sais combien l’idée est difficile à accepter car tu pourrais culpabiliser en te disant « c’est de ma faute parce que je stresse trop! ».  Moi aussi je suis passée par là et j’ai eu du mal à accepter cette notion… et pourtant, ma grossesse est survenue lorsque j’ai compris et accepté cette notion (après avoir galéré pendant plus de 4 ans!).  Accepter cette notion est crucial, car ça veut dire que tu as la possibilité d’agir!

Comme je te le dis depuis le début, cela n’a absolument rien de magique ou d’ésotérique!  La médecine chinoise se base sur ce principe depuis des millénaires.  Un seul grain de sable peut réussir à bloquer un immense mécanisme…

Oui tes pensées ont un impact sur ta fertilité et c’est désormais prouvé scientifiquement!

 

Des chercheurs de l’Université de Louisville (États-Unis) ont publié dans la revue Annals of Epidemiology de nouveaux travaux : ils sont les premiers à quantifier les effets du stress sur les femmes qui tentent de concevoir un enfant.

 

Qu’est-ce que le stress ?

Une projection de ta pensée!  Imagine que tu sois dans ta voiture et coincée dans un embouteillage alors que tu as un rendez-vous.  Tu as le choix : soit tu commences à bouillir de l’intérieur parce que tu vas être en retard et tu râles sur la terre entière, soit tu acceptes la situation et fais en sorte de prévenir de ton retard.  Et quitte à être coincée dans la voiture, tu en profites même pour mettre ta chanson préférée a fond!

Le stress, c’est ça : une projection de ta pensée car dans les deux cas, la situation est identique.  Ce qui change, c’est ta manière d’y réagir.

Cela s’applique bien évidemment à ton désir de grossesse.  Nos rythmes de vie actuels nous donnent mille et une raisons d’être en stress à chaque minute de notre existence.

La probabilité d’une grossesse est réduite de 46%

L’étude a été réalisée sur 400 femmes âgées de moins de 40 ans.  Leur taux d’hormones de stress était mesuré via des échantillons d’urine tout au long du suivi, soit une durée de vingt mois (ou moins pour les 139 grossesses survenues à l’issue de l’expérience).

Selon les analyses statistiques des chercheurs, la probabilité d’une grossesse était réduite de 46% si les participantes se sentaient stressées durant la période d’ovulation.  Et le fait que ces femmes aient déjà un premier enfant ou non n’a aucune incidence : le stress réduit leur chance de la même manière.

 

Le rôle du cortisol

 » L’ovulation peut être compromise par un manque de follicules matures (structures en forme de « sacs » dans lesquelles se développe les ovocytes), ou une perturbation hormonale, liée aux stéroïdes ou aux gonadotrophine ».  

Parmi ces dernières, l’on trouve la GnRH, une hormone régulée par d’autres, dont le cortisol surnommé « l’hormone du stress ».

« L’augmentation des niveaux de cortisol, liée au stress, impacterait la fonction normale de la GnRH, retardant ou empêchant la hausse d’une autre hormone, la LH (hormone lutéinisante), entraînant ainsi l’absence d’ovulation ».

Par l’augmentation des glucocorticoïdes, le stress modifie la fonction de la GnRH, en retardant ou empêchant la montée de l’hormone lutéinisante, ce qui peut entraîner une anovulation.
L’ampleur de cet effet négatif est comparable à celui du tabagisme, un facteur de risque largement reconnu pour jouer un rôle dans l’hypofertilité.

 

 

Gérer son stress réduit l’attente

Selon les chercheurs, la réduction du stress chez les femmes désireuses de concevoir pourrait ainsi diminuer de 3 mois les délais avant la fécondation

Il est donc essentiel de se détendre, en particulier en période pré-ovulatoire et au moment supposé de l’ovulation.  Voilà pourquoi dans la méthode I’am, un module complet est consacré à prendre soin de toi. Cela booste tes chances de réussite.

 

 

SourceAkhter S, Marcus M, Kerber RA, Kong M, Taylor KC. « The impact of periconceptional maternal stress on fecundability. » Ann Epidemiol. 2016 Aug 20.

 

 

 

 

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