La bioénergie, une piste à explorer pour la fertilité – Interview de Yannick Vérité

 

 

Qui est Yannick Vérité?

Kinésithérapeute, Yannick s’est formé à l’ostéopathie et a approfondi son expertise avec la kinésiologie pour s’ouvrir de plus en plus à une dimension plus énergétique.Yannick verite fertilite FIV

En 2015, Yannick a fondé la première école française de bioénergie quantique et a écrit un livre consacré à l’infertilité, avec le Docteur Laurent Arnaud : « Pourquoi eux et pas nous », paru aux éditions Quintessence.

 

Qu’est-ce qui fait que tu en es arrivé à écrire ce livre ? 

Je recevais beaucoup de demandes, de couples, de femmes en parcours PMA qui venaient me voir parce qu’elles n’arrivaient pas à tomber enceinte.

Dans de nombreux cas, je me suis aperçu qu’il y avait des choses qui n’étaient pas explorées par la médecine classique. Des miracles se refusaient, alors que la procréation était possible.

En discutant avec mon ami, le Dr Laurent Arnaud, qui d’ailleurs avait suivi les grossesses pour mes deux enfants, on s’est dit, il faut vraiment en parler, c’est comme ça que ce livre est sorti, il a œuvré sur la partie médicale et moi sur la partie qui était liée à la bioénergie, à la compréhension de  » pourquoi certaines femmes ne tombent pas enceintes alors qu’au niveau physique, physiologique, tout va bien »

 

Qu’est-ce que la bioénergie ?

Il faut savoir que nous avons un corps de chair. Ce corps est entouré d’un corps plus subtil qu’on appelle les corps auriques, qui constituent ce qu’on appelle notre aura.

Avec un entraînement de notre perception extra sensorielle, c’est-à-dire dans notre ressenti, notre intuition , tout ce qui est subtil aussi chez nous, on peut arriver à détecter dans ces fameux corps aurique tout ce qui va gêner notre expansion, que ce soit au niveau énergétique, émotionnel, mental, spirituel.

Avec la bioénergie, on peut tout à fait repérer, au niveau physique, quelque chose de précis comme la déshydratation de l’utérus qui fait effectivement de procréation va être bloquée.

On peut aller détecter de la mémoire transgénérationnelle de la 4e ou 5e génération dont la personne hérite et qui peuvent empêcher cette procréation, comme on peut aller aussi explorer tout le champ de croyances, des sabotages inconscients dans le domaine de la procréation.

 

Que conseillerais-tu aux personnes qui désirent avoir un enfant, mais dont le rêve tarde à se concrétiser ?

À un moment donné, quand toute l’attention est dirigée vers un seul but, cela crée une pression énorme et c’est vrai que ces femmes sont souvent au bout du rouleau, tant au niveau physique qu’au niveau psycho-émotionnel.

Le conseil que je pourrais donner, c’est de s’extraire un peu du contenu de son parcours. Il ne faut pas que l’esprit soit toujours branché. Certes, ce n’est pas évident, car une femme qui n’arrive pas à tomber enceinte, surtout quand elle est en PMA, fera de son parcours une priorité et c’est tout à fait normal, mais il faut arriver à réduire cette pression.

Cela peut être le fait de prendre du temps pour soi. Le fait de respirer davantage en prenant des vacances, en prenant plus soin de son corps, en s’octroyant des massages, des temps de pause à travers le yoga, de faire entrer quelque chose un peu plus ludique que cette pression qu’il peut y avoir dans ce parcours-là, et moins s’orienter vers la partie médicale.

C’est comme s’il fallait amener un point de divertissement au cerveau et lui permettre de penser à autre chose.

Ce que je conseille en même temps, à côté de ce projet, est de commencer un autre projet créatif, peut être écrire un livre ou faire quelque chose, mais il faut avoir notre projet créatif quelque part.
Un deuxième bébé qu’on met en place et sur lequel on va avancer plus facilement parce qu’il y a peut-être moins d’obstacles.

 

Qu’est-ce que tu dirais aux personnes qui se font suivre médicalement ou envisagent un suivi médical dans leurs essais bébé?

Il est important d’apprendre à communiquer avec son corps. 
D’un côté, vous avez les médecins, les gynécologues etc, je ne dis pas qu’il ne faut pas s’y fier, loin de là, mais cela ne remplacera jamais la communication qu’on peut avoir avec son corps car on a tellement nos antennes branchées à l’extérieur de nous, qu’on ne nous a pas appris à le brancher à l’intérieur.

Prendre un temps tous les jours où on va se poser, peut-être les mains sur le ventre ou sur son appareil gynécologique, en respirant, tranquillisant, en envoyant son énergie avec ses mains.
En posant la question à son corps, de savoir qu’est-ce qu’il veut nous enseigner, qu’est-ce qu’il a à nous dire ?
Il est évident que les réponses ne vont pas venir tout de suite, l’important est qu’on ramène l’attention à soi, et non dans un contexte médical et pathologique, mais dans un contexte d’approche bienveillante avec son corps.

Prendre un temps, entre cinq et quinze minutes, voire plus, pour aborder ce dialogue avec son corps.

Se faire accompagner dans ce parcours est important. Je crois même que c’est le plus beau cadeau qu’on peut se faire, car quand notre corps tombe malade ou qu’il n’arrive pas à assumer ou assurer une fonction, c’est pour nous dire quelque chose.

 

Découvre le site de Yannick Vérité en cliquant ici

 

 

 

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